Actes à gogo
Recherche
Navigation
Navigation de livre
Articles anciens
- La famille de Mévouillon
- Les Feraud, ancêtres des Glandevès
- Essai sur la famille d'Odile de Nice
- Les sires d'Anduze (version 2)
- La maison de Menou
- Aux origines des Guilhem de Montpellier
- Qui sont les Guilhermides ?
- Les Rostain de Bataille
- Les de Berre du Thoard
- Les vicomtes du Maine
- Les seigneurs de Bellême
- Les Hugonides
- Les sires de Montsoreau
- Les Sainte-Maure
- Les Craon
- Les Etichonides
- Les comtes d'Albon ont-ils des ancêtres ?
- La puissance des Bosonides
- Les Géroldiens de Genève
- Les Faucigny
- Les Castellane
- Les Montlaur vellaves
- Les Poitiers-Valentinois
- Les Calmont-d'Olt
- Les Comborn
- Le comtes d'Anjou (version 2)
- Les Clérieu (version 2)
- Les Raymond de Mévouillon
Notre bibliothèque
Pour l'étude du moyen-âge
Famille d'Oraison
Nous pouvons apporter quelques éléments de réponse aux questions que vous posez :
- D'après madame carré, aujourd'hui décédée, qui nous avait envoyé unn courrier résumant ses propres recherches, Jacques d'Oraison, frère de Bertrand, coseigneur de Clumanc a épousé Catherine, dame de saint-Jurs. Elle donne comme fils à ce couple Antoine, seigneur de Saint-Jurs et de Saint-Jeannet, marié à Jeanne de Castellane d'où Philippe, sgr de Saint-Jurs, Bras-d'Asse et Gaubert marié à Marguerite de Glandevès...
- Toujours d'après la même personne, Jacques et Bertrand sont fils de Jean et de Douce de Moustiers. Dans sa thèse déposée à la bibliothèque universitaire d'Aix, T Pécout, historien, ne donne pas tous ces liens de famille (peut-être ne les a-t-il pas cherché !) mais signale lui-aussi Jacques (1375 à 1395) et Bertrand.
- Jacques est cité en 1391 à Clumanc et en 1392 à Chaudon (L’état documentaire et féodal de la Provence Marie Zéphirin Isnard).
- Pour Antoine, frère de Nicolas, décédé après 1545 :
Procuration donnée par Bertrand d’Oraison, seigneur de Clumanc, à noble Antoine, son fils, chevalier de Saint Jean de Jérusalem, à l’effet de recouvrer de noble Marquet de Glandevès, rentier des droits de Clumanc, 500 florins pour premier terme de son bail revenant, savoir : 250 à lui-même et 300 à ses enfants, ledit Antoine et noble Nicolas, écuyer (Draguignan série E p 309 ).
Cordialement
Hélène et Thierry